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// Notes du 6.4.2021 et du 21.5.2021

   Pour faire la différence entre le contenu de ce blog et des « fake news », il suffit de chercher les sources utilisées par l’auteur: un scientifique fournit en principe toujours ses sources (à moins qu’une formation de base en physique y suffise). C’est par exemple le cas sur tout ce qui concerne le combat contre la pandémie COVID-19: l’éditeur, souvent lui-même auteur, n’est pas médecin !

Quand vous trouvez dans un article un nom d’auteur, commencez par vérifier si vous avez tout compris de ses propos ! En général, vous avez affaire à un scientifique, qui a été admis à publier dans ce blog à cause de ses compétences. Traiter avec un haussement d’épaules son rapport d’expert va se payer très cher: la plupart du temps, il s’agit de données de la Nature; passer outre, comme par exemple avec les affaires du CO2 (qui ne présente PAS d’effet de serre) ou de l’abandon suisse du nucléaire, aura de terribles conséquences: n’hésitez pas – prenez contact !

// fin de notes du 6.4.2021 et du 21.5.2021

   Objectifs poursuivis

Publier des travaux scientifiques ou techniques originaux, ayant ou non un rapport avec l’énergie.

Trouver et proposer, pour la Suisse, un approvisionnement en énergie qui soit réalisable et durable – sans exclure aucune source d’aucune sorte.

   Contenu 

Le terme blog est la contraction de « web log« , qui signifie « Livre de bord internet ». Ce blog-ci (qui a débuté en 2010) est un espace de liberté, pour des auteurs francophones:

– d’un côté on trouve des réflexions sur l’actualité en Suisse, très souvent après le constat de quelque dérive dans les projets d’approvisionnements;

– de l’autre, des publications échappant aux monopoles de fait des revues scientifiques ou techniques et des hautes écoles: c’est à l’auteur seul d’annoncer sans délai une découverte, sous sa responsabilité. 

  se trouvant en sciences, il arrive qu’un fait reconnu ne le soit plus ou seulement sous une forme très modifiée, suite à une découverte, par exemple suite à un calcul mieux étayé. C’est ici le cas du CO2: il faut bien regarder la date d’un article, avant de suivre les conclusions qu’on y trouve ! Après les travaux du Pr. Reinhart de 2014, il a fallu réformer ses idées à propos de climat; cela a pris du temps, on doit maintenant aussi tenir compte des dates où l’information est parvenue à l’éditeur: janvier 2017.  On a longtemps cru que l’humanité pourrait avoir perturbé le climat global avec ses émissions de gaz à effet de serre; devant l’immensité du Globe, c’est un sujet à réexaminer périodiquement, avec des pincettes … mais il faut se souvenir de l’affaire des CFC et donc garder à l’esprit qu’il est possible de perturber l’environnement global. Aucun sujet n’est définitivement clos, en sciences.  Note de l’éditeur du 9.3.2018. 

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Potentiel de gravitation à l’intérieur d’une étoile (… à l’intérieur du Soleil).

     Accès 

Pour les lecteurs qui débutent dans le blog, voir la page

Thèmes dans le blog – pour débuter

Sans publicité, le blog est à considérer comme un livre plutôt que comme un périodique; la liste des mots-clés joue le rôle de table des matières, tout comme la liste des catégories.

   Qui sommes-nous ? 

Un groupe informel de scientifiques chevronnés, à la retraite pour la plupart. Politique suivie par l’éditeur: céans sciences et calculs ont le pas sur les opinions …

    Impressum 

Contact et commentaires à l’adresse de courriel:   info@entrelemanetjura.ch  

Editeur:    André Bovay-Rohr, Ch. de Chambens 6, 1114 Colombier (VD), Suisse

 Le 29.9.2014, rév. 12 juillet 2016, 20.1.2018, 9.3.2018, 30.12.2020, 6.4.2021

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Armes anti-insectes, applicables contre les frelons asiatiques

La Suisse romande est envahie par des frelons asiatiques, insectes particulièrement ennuyeux, car ils s’attaquent aux abeilles à l’entrée de leurs ruches comme prédateurs.

Documentation élémentaire par des articles du quotidien 24 Heures:

Comment Genève est devenue la capitale suisse du frelon asiatique

du 5.6.2023

  Entre Vaud et Genève, la lutte contre le frelon asiatique est inégale

du  16.10.2024

Il devient donc important de mettre au point des armes, capables de venir à bout de cette calamité, avant que les effets secondaires sur notre agriculture se manifestent.

//Note du 19.10.2024 

Documentation officielle: Publication sur le site de l’Etat de Vaud (mai 2023)

En Europe, on connaît la bondrée apivore comme prédateur des frelons asiatiques, rapace proche des pygargues, plutôt rare, hélas. Donc, en Suisse, les hommes vont devoir s’y substituer.                Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Bondrée_apivore

Tenant compte des remarques du Pr. Cherix, qui a aimablement réagi très vite au présent article, il faut le compléter: le repérage des nids est le point numéro 1.

Logiquement: si la bondrée apivore arrive à se nourir en partie avec des frelons, cela signifie que la vue depuis les airs doit apporter un avantage important à ce prédateur dans le repérage de ses proies; donc il faut tenter de tirer parti de sa façon de faire.

Le principe général des idées développées ici: tant que possible faire faire les travaux de repérage et d’intervention par des robots; en effet s’occuper de frelons asiatiques en très grand nombre de nids, tout en faisant le métier de jardiniers paysagistes à des dizaines de mètres du sol, est très risqué et épuisant: le risque encouru est de se faire déborder, comme dans certaines régions d’Europe du sud.

Début du processus

Sachant que la vitesse de ces insectes est de l’ordre de 20 km/h et leur portée de vol de l’ordre de 2 km, les suivre est dans les performances des drones électriques de 2024. Le point important sera alors d’arriver à ne pas perdre de vue un frelon transportant une abeille depuis une ruche et d’enregistrer son parcours (données GPS connues); après la phase intermédiaire de dépeçage, il sera alors possible de savoir dans quelle direction il va se diriger vers son nid (vol alourdi par sa consommation); l’idéal serait de pouvoir le suivre, mais à défaut de cela, on pourra explorer son parcours probable. En plein jour et en plein soleil, connaissant une ligne de vol, il est pensable d’arriver depuis les airs à localiser un nid de frelons, simplement par le trafic de vols dans ses environs.

C’est un processus analogue qui m’est arrivé au cours du temps dans mon propre jardin (deux fois avec des frelons de l’époque, d’innombrables fois avec des guêpes communes ou des polistes).

Pour arriver à faire avec succès ce repérage, il faudra disposer de caméras de très bonne qualité et vraisemblablement répéter l’opération. Remarque: il faudra disposer pour ce travail d’un ou plusieurs drones à portée de pilotage de plusieurs km et capables de revenir à leur point de départ automatiquement, même si le télé-pilote en a perdu le contrôle. Du point de vue électronique, ce sont des performances courantes d’un iPhone, tant qu’il y a du réseau !

Repérage fait, il faudra alors enregistrer au plus vite les coordonnées GPS du lieu et lancer le processus légal d’intervention.  

Remarque: techniquement, une intervention immédiate serait pensable, par exemple en posant un bouchon sur les orifices du nid, après avoir sprayé ou intoxiqué l’intérieur.

//Fin de note du 19.10.2024

Nous allons avoir besoin de petits robots transportés par des drones, avec une caméra permettant le pilotage des robots ET des drones: en partant des sprays, appareils ou composants existants dans le commerce, il semble possible de construire des robots télépilotés, capables de détruire en quelques minutes le contenu des plus grands des nids de frelons asiatiques. L’objectif sera de rendre à terme faisable l’éradication de ces nuisibles. 

*   *   *

Liste des procédés examinés à cette date, qui vont réclamer du développement: 

§ Chimiques

Il est bien connu que le savon noir est utilisable comme insecticide (2 cuillères à soupe par litre d’eau tiède). Contre des insectes comme les frelons, c’est à utiliser sous forme de brouillard; c’est à recommander, car d’après les jardiniers, c’est très efficace et inoffensif pour les gens et les végétaux. A développer pour l’usage avec un drone: un réservoir sous pression, avec valve télécommandée, une buse orientable télécommandée (avec caméra TV), qui évite les jets d’air des hélices. 

Avantages: action rapide et définitive, par asphyxie des insectes; expérience très sûre de ce type de spray. 

Inconvénients: à appliquer avec précision, être sûr de toucher tout le nid; se méfier des possibles piqûres encore longtemps après chute et mort apparente de chaque insecte.

§ Electriques (même concept qu’une tapette anti-moustiques)

A mettre au point: un treillis, adaptable à des orifices de nids en papier mâché et conçu pour électrocuter des frelons asiatiques (un peu plus petits que les nôtres).

Avantages: rapidité, simplicité d’un dispositif très léger, qui pourrait être conçu pour piéger les entrées du nid. Aucune toxicité du procédé.

Inconvénients: fonctionne tant qu’il y a du courant; ne tue que quelques frelons à la fois, ceux qui entrent ou sortent; doit être placé à TOUS les orifices du nid; nécessité de vérifier s’ils restent capables de piquer après électrocution.

§ Micro-ondes, les mêmes que celles d’un four de cuisine, pour rôtir les insectes contenus dans le volume d’un nid, en quelques secondes. Plusieurs équipements peuvent être mis en oeuvre, qui vont se comporter comme des radars. 

Le four devra être remplacé par une antenne parabolique, pour que l’onde soit dirigée sur le nid (au foyer optique, avec forte concentration).  Le tube électronique au centre du dispositif est un puissant magnétron, produisant des ondes intenses de fréquence 2450 MHz  (fréquence de résonance de l’eau, absorption par les tissus de l’insecte, échauffement mortel).  En cas de besoin, il sera possible d’«éclairer» le nid avec plusieurs antennes.

Avantages: action à distance, rapidité, en principe tous les frelons sont tués en quelques secondes, aucune pollution. 

Inconvénients: le nid doit être rendu visible optiquement, les objets sur le parcours des ondes risquent d’être aussi rôtis; besoin d’une alimentation électrique puissante; faisceaux à diriger avec précision; fort danger pour les témoins imprudents qui se risqueraient devant une antenne ; nécessité de vérifier si les insectes restent capables de piquer après irradiation fatale.

//Note du 20.10.2024 

§ Rayons X ou rayons gammas (ou autre source radioactive). Au cas où il faudrait rattraper une situation hors de contrôle  et détruire des nids de frelons asiatiques à toute vitesse, il serait possible de déposer, fixer et allumer sur chaque nid une source de rayons gammas assez intense, pour tuer les frelons qui s’y trouveraient; il faudrait ensuite l’éteindre et l’emporter en lieu sûr.

En ce qui concerne les rayons X, il faudrait disposer sur le drone qui l’amènerait d’une source de courant suffisante à alimenter le tube générateur et d’une technique de refroidissement adéquate.

Avantages: action locale, extrême simplicité et rapidité, en principe tous les frelons sont tués en quelques minutes, aucune pollution ne subsiste.

Inconvénients: ce sont des solutions du désespoir, la toute grosse artillerie lourde. L’arbre qui sert de support à un gros nid souffrirait probablement de la méthode; elle impliquerait de savoir trouver et boucher tous les orifices du nid, pour éviter les évasions de jeunes reines.

Il y a beaucoup plus simple et moins dangereux !

§ Chaleur, que les frelons ne supportent pas, au-delà de 50°C. Le nid localisé, on peut imaginer un drone doté d’une provision d’énergie, convertible en chaleur: par exemple, un petit sèche-cheveux devrait suffire à porter la température interne du nid très au-delà; une autre solution consiste à glisser dans le nid des radiateurs.

Avantages: action locale, très simple, rapide, en principe tous les frelons sont tués en quelques dizaines de minutes, aucune pollution ne subsiste.

Inconvénients: Il faut disposer d’un robot, dont son pilote soit à même de trouver tous les orifices du nid, de les obstruer tous (sauf celui où on injecte l’air),  et de percer des petits trous tout le tour si le procédé est d’injecter de l’air chaud.

§ De l’eau, pour noyer le nid; suivant sa géométrie et sa situation, il pourrait être des plus simple d’injecter de l’eau, jusqu’à ce qu’il soit rempli, certains orifices du haut bouchés par des grillages. Une variante consisterait à injecter de l’eau chaude, de manière à traiter par hyperthermie ceux qui auraient échappé à la noyade.

Avantages: action locale, très simple, rapide, en principe tous les frelons sont tués en quelques heures, aucune pollution ne subsiste.

Inconvénients: Il faut disposer d’un robot, dont son pilote soit à même de trouver tous les orifices du nid, de les obstruer tous sauf un,  et de percer des petits trous tout le tour si le procédé est d’injecter de l’eau chaude ou de la vapeur sous pression.

//Fin de note du 20.10.2024 

*   *   *

Fin du processus

Pour éviter tout redémarrage d’un nid de frelons asiatiques, actuel ou futur, il faut être capable de le détacher et de l’emmener: suivant les besoins, un robot spécialisé sera doté d’une grosse pince coupante ou d’une scie. On pourrait aussi imaginer utiliser un accessoire conçu pour déchiqueter le nid, si l’on accepte comme débris un gros volume de papier mâché et quelques milliers de cadavres de frelons en miettes …

André Bovay-Rohr, Colombier, le 18.10.2024, rév. 19 et 20.10.2024

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Eoliennes géantes contre glaciers suisses

Dans des commentaires, que j’ai rédigés pour le quotidien 24Heures, sur l’article de lien
de l’ATS, j’ai cherché à poser les problèmes à traiter pour TROUVER de quelle façon les fermes d’éoliennes géantes de toute l’Europe ont contribué à perturber notre climat régional, ont contribué vraisemblablement à la sécheresse chronique que signifie cette fonte des glaciers suisses.
A première vue, les spécialistes les mieux outillés pour le faire sont des climatologues et des météorologues. Pour des raisons politiques et financières (des milliards de CHF sont en jeu – on refuse d’écouter les contestataires du GIEC, comme les Pr.hon. Reinhart ou Pont), ceux de la Confédération suisse, à ma connaissance ont reçu défense de s’y attaquer.
Anecdote sur les réactions virulentes provoquées par une contestation des données scientifiques officielles: 
Pour tenter de couper mes contacts avec les experts de MétéoSuisse en 2019, mon numéro de téléphone a provoqué des années (si j’appelais un 058 460 …) le message étonnant:  »Ce numéro n’est pas valable » 😂 que l’analyse de Swisscom a montré non technique, mais du genre censure. Explication sur les raisons de ce blocage, confirmé par écrit par sa Direction le 29.9.2019:
«serviceclient@meteoswiss.ch / RE: Incident INC000002294810 / Cher Monsieur, / Nous accusons réception de votre message. / Nous constatons, une fois de plus, que votre avis est toujours contraire à celui de MétéoSuisse et de la majorité des experts en la matière. …»

Cette surdité scientifique volontaire a fait que les effets secondaires fâcheux des éoliennes géantes (qui coûtent chacune globalement environ 10 millions de Fr. pièce) n’ont apparemment jamais été examinés par MétéoSuisse.  Ainsi donc, sur territoire vaudois, en Suisse, à quelques km de chez moi, on continue à en construire par fermes entières en 2024, avec force subventions. Quelle pagaille !

Mes commentaires d’octobre 2024 sont donc des piqûres de rappel publiques:

§ Publié le 1.10.2024
Le bizarre de l’affaire: du fait d’une température globale moyenne plus élevée, l’air que nous apporte le vent (venu généralement de l’Atlantique ou de la Méditerranée) devrait être plus humide: quels changements de comportement a-t-il eu  pour effet une augmentation de sécheresse relative – de ne pas déposer chez nous 🇨🇭 plus d’eau?
§ Publié le 3.10.2024
Ce qui est sûr, c’est que ce ne sont PAS des effets de serre qui sont à l’origine de ce phénomène: ça se voit par calculs en physique quantique (échauffement dû au CO2 très faible, celui dû au CH4, méthane, encore plus faible).
Il s’agit donc de FAITS, hélas: c’était si simple, d’accuser nos émissions de CO2 de provoquer ce désastre 🥵 ; il faut chercher autre chose et renoncer à lancer en Suisse 🇨🇭 une transition énergétique ruineuse, d’avance promise à l’échec !
– – –
Il y a tromperie sur les causes (très compliquées, pas dûes au CO2) des problèmes de notre climat régional, continental … sur les causes de la fonte de nos glaciers 🇨🇭 ! Nos scientifiques 🧑🏻‍🔬 doivent se retrousser les manches et réveiller l’ordinateur ALPS à Lugano !
 § Publié le 3.10.2024
Ayant découvert qu’il est une série de circonstances où il est sûr que les éoliennes géantes participent au réchauffement climatique régional (ralentir le vent en cas de pays au soleil), j’ai fait l’hypothèse qu’elles portent une responsabilité évidente, dans nos ennuis avec la neige, la glace et l’eau. Les effets à calculer:
§ Trouver les mécanismes de fabrication des vents concernant la Suisse – et pour ceux résultant d’effets thermiques, estimer les rendements de Carnot en jeu, pour en déduire les effets sur un probable réchauffement dans la région ou les lieux de la source chaude et de la source froide.
§ Estimer la proportion de l’atmosphère aux environs de la Suisse, freinée toute l’année par les innombrables fermes d’éoliennes et qui parvient à la Suisse. Se souvenir que les quantités d’air (de haute densité près du sol) brassées par années, à estimer, sont gigantesques.
§ Calculer les effets de déviations des courants par modifications des composantes N-S et S-N des vents, soumis à l’accélération de Coriolis à notre latitude. Estimer si l’arrivée chez nous de poussières du Sahara a un rapport avec ces déviations.
§ Calculer les modifications des mélanges d’air freinés par les éoliennes géantes en question et qui à l’origine provoquaient des précipitations; on devrait logiquement aboutir à pouvoir en estimer les DIMINUTIONS annuelles.
*   *   *   
Documentation 

Eoliennes géantes: perturbations climatiques régionales prévisibles. 4.7.2023

Ce sujet a été déjà abondamment traité, il suffit de se référer à la liste du mot-clé  »éoliennes » ou d’utiliser les liens fournis comme ci-dessus.

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Phénomènes physiques générateurs ou modificateurs de vents naturels – théorie élémentaire

Le vent est le résultat de moteurs thermiques naturels, l’écoulement de l’air étant provoqué par des différences de températures locales et régionales; ce phénomène est dû en partie au fait que l’air froid est plus lourd que l’air chaud. Parfois il intervient aussi le dégagement de chaleur quand de la vapeur d’eau se condense ou de l’absorption de chaleur quand de l’eau s’évapore. Physiquement la source chaude vient du rayonnement du Soleil, la source froide de l’évasion de chaleur par divers mécanismes impliquant  l’air, finalement par rayonnements vers l’espace, qui sauf en direction du Soleil, les absorbera tous sans limite. 

Théorie de thermodynamique élémentaire.

Rappel historique:   wikipedia 2ème principe (histoire thermodynamique)

Par rendement, on entend une mesure en % de la production d’énergie mécanique à partir d’énergie thermique. 

L’efficacité maximale ‘’Rendement’’ d’un moteur à deux températures fonctionnant selon le wikipedia cycle de Carnot (ce qui est le cas localement dans la nature) avec une source chaude de température ‘’Tchaude’’ et une source froide de température ‘’Tfroide’’ vaut :

Rendement = 100% – (Tfroide / Tchaude) , où les températures sont exprimées en °Kelvin

   *   *   * 

Calculs du rendement d’une machine thermique de Carnot – application historique. 

Machine à vapeur d’eau, où la température de la source chaude serait 100°C (373 °K) et la température de la source froide serait 25°C (298 °K): 

Rendement = 1- (298 / 373)  =~  0.2  =   20% 

On a aussi, pour cette machine:  

Rendement  =  ‘’Travail mécanique extrait’’ / ‘’Energie thermique fournie’’ 

Dans notre exemple, avec un Rendement de 20%, pour chaque kWh de travail mécanique extrait, il faudra fournir 5 kWh thermiques. 

==>   ‘’Travail mécanique extrait’’  =  ‘’Energie thermique fournie’’ * Rendement

   *   *   *

Théorie de thermodynamique appliquée au cas des éoliennes géantes.

Au vu des différences de températures très basses en jeu dans la nature (pour la génération des vents des zones tempérées où nous nous trouvons) à cause du mauvais rendement thermodynamique qui en résulte, on doit s’attendre:

<==> à des quantités de chaleur nécessaire énormes pour que la nature fabrique un vent modéré. 

<==> à des influences sur les températures des énormes sources froides aussi bien que des énormes sources chaudes, si l’on prélève à grande échelle sur le vent de l’énergie mécanique (peu abondante relativement quand le rendement est mauvais): c’est ce que font des éoliennes utilisées pour pomper de l’eau ou pour produire de l’électricité. C’est bien ce qu’on observe depuis des années, par exemple en Europe.

<==> à des influences sur le comportement des écoulements: c’est de la mécanique des fluides; ceux-ci sont soumis à de l’échauffement solaire réparti non uniformément dans le paysage … donc avec un refroidissement en diminution (vent freiné systématiquement), il va y avoir déplacements des deux sources; ça se manifestera par des modifications de direction des vents.  

André Bovay-Rohr, Colombier, le 23 mars 2024

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Déluges du futur ?

Suite à la lecture des grands travaux de M. Zecharia Sitchin, où le rôle du Déluge biblique a reçu un éclairage surprenant, je me suis souvenu avoir traité un sujet très voisin sous l’angle de la géophysique; documentation:

 https://www.entrelemanetjura.ch/BLOG_WP_351/quand-change-laxe-de-rotation-du-globe-2/   12.6.2013

Selon Jacques Blanchard, auteur de 1942, cité en ®1, en 230’000 ans, il y a eu 22 changements de positions du pôle géographique nord; les coordonnées successives du pôle N ont été estimées par observations du climat en France (géologie des terrasses de la Somme, travaux et cours de l’Abbé Henri Breuil) et en d’autres pays à la même latitude aux mêmes périodes; cela donne en moyenne un intervalle de temps d’environ 10’500 ans entre chaque changement. Des travaux extrêmement utiles !

Comme les mesures modernes n’ont pas confirmé le concept de Blanchard (variation continue et importante de la position du pôle de rotation N), j’ai été amené à décrire une évolution par sauts de l’axe de rotation du manteau, après avoir pris connaissance des recherches modernes sur le champ magnétique fossile.

Documentation: https://fr.wikipedia.org/wiki/Structure_interne_de_la_Terre

La Terre comme  »moteur électrique ». La description physique du phénomène postule qu’il existe des mouvements d’ensemble des diverses parties internes du Globe. Après ce genre de changements rapides d’axe du manteau, seul directement visible, on admet que la rotation générale de la Terre reprend quasi inchangée, l’axe observé de l’espace ayant conservé sa direction, contrairement à ce qui se passe avec le mécanisme de précession.

Perturbations de la rotation. Exemple, où je choisis le pôle sud, car il fait partie de la croûte, donc du manteau: pour calculer la vitesse de déplacement ancienne du nouveau pôle S, il faut estimer son ancienne latitude (90°S-15°, à savoir 75°S); approximativement, on a 15° x 111 km/° = 1’665 km = distance entre ancien et nouveau pôle S; donc la distance parcourue en 24 heures par l’ancien pôle S du fait de la rotation sera un cercle de 10’462 km; donc pour l’ancien pôle le déplacement est passé de zéro à une vitesse nouvelle de 436 km/h (en direction de l’est, comme n’importe quel point du Globe); cette vitesse aura été acquise en environ un mois, donc durant 720 heures: phénomène sournois …  

Dans le schéma ci-dessus (hémisphère Nord, extrait de mes travaux de 1976) , tous les points situés sur la ligne ‘’ensoleillement inchangé’’ ne vont pas changer de latitude, donc rester à la même vitesse, mais vont changer d’angle – alors que les points situés sur la ligne ‘’ensoleillement ……… (modifié)’’ vont subir un changement de vitesse (Règle générale: ceux plus près du nouveau pôle iront moins vite, ceux plus loin du nouveau pôle iront plus vite vers l’est). 

Les 3/4 de la planète sont couverts d’océans, de profondeur moyenne de 3’500 m; la totalité est recouverte par une atmosphère d’environ 13 tonnes d’air par m2. Juste après le changement de pôle de rotation, ces fluides ne vont pas être entraînés par le manteau: on peut s’attendre, par leur inertie, à assister à des mouvements violents, par exemple autour du pôle Sud.

Le phénomène du changement d’axe de rotation du manteau est très compliqué, se déroulant sur environ un mois, ses conséquences vont se manifester surtout lors des changements définitifs de l’axe de rotation: voir les travaux des Pr. Prévôt et Coe de 1977, sur un enregistrement rarissime, vieux de 13 millions d’années; la strate de lave fossile B51 a enregistré les errements du champ magnétique sur plus d’un mois, qui ont dû refléter des mouvements du noyau métallique qui les a émis; c’est 1/3 de la masse de la planète qui a vraisemblablement émis ce champ … et qui a communiqué mécaniquement ou par champ magnétique ses mouvements au manteau (échanges de moments).

Les solides à la surface du Globe vont suivre les mouvements du manteau, les masses mal fixées, comme du sable ou des banquises, vont vraisemblablement subir par inertie des éboulements et des déplacements très inhabituels; les liquides et les gaz se manifesteront par des déplacements en grande partie horizontaux, en tempêtes et en tsunamis géants: c’est cela le Déluge. 

– – – 

Se mettre à l’abri du Déluge suivant sera vraisemblablement extrêmement difficile; pour s’y préparer, il faudra que nos prévisions météo et nos calculs de tsunamis soient fiables pour une période dépassant largement la durée du mois du changement – il faudra donc, aussi vite que possible, faire appel à des successeurs compétents de Noé …

Bibliographie

®1 Jacques Blanchard, L’hypothèse du déplacement des pôles et la chronologie du quaternaire, Monnoyer (imprimerie), Le Mans, 1942

®2 La 12e planète, Sitchin Zecharia, 1976, traduit en 2017 et réimprimé en 2022, éd. Macro éditions, Cesena, Italie.

®3 Les chroniques Anunnaki, compilation de travaux de Sitchin Zecharia par sa nièce Janet, traduction  en 2017 et réimprimé en 2019, éd. Macro éditions, Cesena, Italie.

André Bovay-Rohr, Colombier (VD), le 7 janvier 2024

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Eoliennes géantes: perturbations climatiques régionales prévisibles.

Sans se lancer dans de gros travaux de physique, on peut décrire les effets secondaires des nombreuses fermes d’éoliennes géantes, par comparaison avec ce qui se passe avec des brise-vents à peupliers, mais à grande échelle et avec une efficacité très supérieure (puisque le but des éoliennes est de prélever un maximum d’énergie du vent, quelle que soit sa direction). 

Il est évident qu’en plein été, une amplification de canicule est hautement indésirable ! Et c’est pourtant bien ce qui est à prévoir, la ventilation étant massivement réduite en aval des éoliennes (c’est-à-dire pour toute l’année, dans toutes les directions autour de chaque ferme). 

De même, intervenir sur les mélanges de masses d’air d’ordinaire génératrices de précipitations est hautement discutable: sur la durée, les régions en aval vont ainsi souffrir de déficits d’eau.

Dans les travaux de physique, cités dans la bibliographie, qui ont précédé le présent article, je n’ai pas assez tenu compte des turbulences, qui rendent très complexes la description et les calculs de ce qui se passe derrière une éolienne: l’effet de frein des vents en est fortement aggravé, mais sa portée est limitée, le vent hors de la surface captée se mélangeant par turbulences à celui traité par l’éolienne. Il reste un gros travail scientifique à faire, pour décrire en mécanique des fluides et en thermique, les détails de ces phénomènes. 

Ces éoliennes génèrent une trace dans l’air en aval, vers le sol

Remarques

§ Il est très surprenant, que les pays en train de souffrir de canicules amplifiées et de sécheresse chronique, comme la France ou comme l’Espagne, n’aient pas fait le lien avec leurs grandes quantités de fermes d’éoliennes géantes modernes. 

§ Non contente de se fonder sur une énergie éolienne très variable et intermittente (facteur de charge annuel moyen 19%, hélas), la stratégie énergétique 2050 est en train de fabriquer, pour toute la Suisse, des perturbations climatiques régionales (sans les étudier !), en introduisant en masses des éoliennes géantes.  

Bibliographie

https://fr.wikipedia.org/wiki/Brise-vent   

Eoliennes géantes – Toutes leurs tares – Quelle pagaille !         25 janvier 2023

André Bovay-Rohr, Colombier (VD), le 4 juillet 2023

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Eoliennes géantes – Toutes leurs tares – Quelle pagaille !

Le 23 janvier 2023, le quotidien où il m’arrive de fournir des commentaires, a publié l’article de l’auteur M. Julien Wicky      , de lien:    https://www.24heures.ch/les-eoliennes-pourraient-profiter-dun-puissant-coup-de-vent-164686176583

Voici ce que j’ai fourni; les données sont développées dans les articles cités en bibliographie, qui documentent les sujets abordés depuis plus de 10 ans. Mon commentaire du 24.1.2023 :

Et comme d’habitude, dans cet article et dans la plupart des commentaires, pas un mot sur les tares réelles des éoliennes :=(

– – –

§ Calcul du potentiel éolien en Suisse complètement faux, par la Confédération et Suisse-Eole (plus de 10’000 fois trop !).

§ Facteur de charge moyen expérimental: 19% en Suisse, c’est-à-dire dans les 7’100 heures/an sans production notable; on ne peut pas compter dessus …

§ Prélever un peu plus de 50% de l’énergie de l’air, comme le font les meilleures des éoliennes, c’est ralentir massivement le vent chaque fois qu’il souffle, aux 2/3 de sa vitesse initiale. Les éoliennes géantes en grandes quantités généreront double conséquence sur le climat régional:

… § Sécheresse chronique, comme par exemple en France depuis des années. Une manière de saboter notre électricité hydraulique.

… § Aggravation des canicules, par non-évacuation de chaleur.

– – –

– Ce ne sont pas des ingénieurs comme M. P-F C qui en parlent !

– Les Conseillers nationaux qui en débattent sont-ils au courant ?

– Une fois lancées, on ne pourra pas les arrêter: à 10 millions de Fr. pièce environ, qui va l’accepter ?

– – –

Quelle pagaille !

Bibliographie. 

Pas assez d’énergie, trop tard, un complot?      du 3 juillet 2012

Potentiel théorique éolien   du 22 juin 2016

Eoliennes – promesses de sécheresses en Suisse        du 5 mai 2021

Pas de neige à Noël: éoliennes coupables ?    du 24 décembre 2015

Eoliennes géantes en grandes quantités: double calamité climatique     du 14 septembre 2022

La guerre froide, organisée avec des éoliennes géantes.    du 17 août 2022

Du photovoltaïque sur le toit | Toutes les énergies.   du 6 novembre 2020

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 25 janvier 2023

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Giant wind turbines in large quantities: double climatic calamity

Original in french: Eoliennes géantes en grandes quantités: double calamité climatique

Giant wind turbines have two physical effects on their environment, downstream, so commonplace that they have gone unnoticed; these are side effects, which have become calamitous with the increasing numbers of giant wind turbines all over the Earth. Meteorologists will be well advised to simulate these effects with their tools.

The case is of extreme importance, these secondary effects having been attributed to the greenhouse effect of CO2 (and other greenhouse gases, such as methane CH4) and annoyingly confused with global warming.

Background: Wind turbine calculations can be done with laminar winds of 10 m/s (36 km/h) and the best known efficiency is a little better than 50% of its energy drawn, which reduces the wind speed to about two-thirds of its initial speed. Coming out of the wind turbines, everything is preserved (pressure, temperature, volume, humidity), except the energy (reduced), the speed (reduced), and of course the diameter of the flow stream is increased. 

Source: Wikipedia, Betz’s law

History and calculations: Eoliennes – promesses de sécheresses en Suisse   5.5.2021

Cold War, organized with giant wind turbines  17.8.2022

1. Regional global warming. If you circulate a wind of 36 km/h on a landscape in the sun, km after km it will heat by simple conduction with the ground; this can be seen with a thermometer placed at a great distance, at solar noon from the place (simple and inexpensive verification). If you place giant wind farms and re-measure downstream with the wind reduced to 24 km/h, you will find that the air will be warmer than before: conduction had 33% more time to take place, the ground has transmitted more heat to the air received at a distance: there will be systematically air atmosphere heating in good weather, in summer aggravated heat waves. 

2. Chronic drought. By repeating the experience of having a wind of 36 km/h, reduced by wind farms to 24 km/h, the delivery of water vapor will arrive later. To see this phenomenon, it will suffice to replace the thermometer with a dehumidifier and to operate it for an agreed time, for example from 11:00 a.m. to 1:00 p.m. (solar time of the place). We will then see that the quantity of water collected will be less than the quantity collected in the same duration with the wind of 36 km/h: at the end of the year, we will have less precipitations, alias chronic drought… 

The transport of water by the wind is symbolized here by drinking water tankers.

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, 14. September 2022, rev. 16.9.2022

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Eoliennes géantes en grandes quantités: double calamité climatique

Version en anglais: Giant wind turbines in large quantities: double climatic calamity

Les éoliennes géantes présentent deux effets physiques sur leur environnement, en aval, tellement banals qu’ils sont passés inaperçus; ce sont des effets secondaires, devenus calamiteux avec les nombres d’éoliennes géantes croissants sur toute la Terre. Les météorologues seront bien inspirés de simuler ces effets avec leurs outils.  

L’affaire est d’une extrême importance, ces effets secondaires ayant été attribués à l’effet de serre du CO2 (et autres gaz à effet de serre, comme le méthane CH4) et fâcheusement confondus avec le réchauffement climatique global. 

Données de base: les calculs des éoliennes peuvent se faire avec des vents laminaires, de 10 m/s (36 km/h) et le rendement le meilleur connu est d’un peu mieux que 50% de son énergie prélevée, ce qui réduit la vitesse du vent à environ les deux tiers de sa vitesse initiale. Au sortir des éoliennes, tout est conservé (pression, température, volume, humidité), sauf l’énergie (diminuée), la vitesse (diminuée), et bien sûr le diamètre de la veine d’écoulement est augmenté.

Source: Wikipedia, Limite de Betz

Historique et calculs: Eoliennes – promesses de sécheresses en Suisse   du 5 mai 2021

La guerre froide, organisée avec des éoliennes géantes  du 17 août 2022

1. Réchauffement climatique régional. Si vous faites circuler un vent de 36 km/h sur un paysage au soleil, km après km il va chauffer par conduction simple avec le sol; ça peut se constater avec un thermomètre placé à grande distance, à midi solaire du lieu (vérification simple et réalisable à peu de frais). Si vous placez des fermes d’éoliennes géantes et que vous refassiez en aval les mesures avec le vent réduit à 24 km/h, vous allez constater que l’air sera plus chaud qu’avant: la conduction a eu 33% de temps en plus pour avoir lieu, le sol a transmis plus de chaleur à l’air reçu à distance: il y aura systématiquement échauffement par beau temps, en été des canicules aggravées. 

2. Sécheresse chronique. En reprenant l’expérience d’avoir un vent de 36 km/h, réduit par les fermes d’éoliennes à 24 km/h, la livraison de vapeur d’eau va parvenir plus tard. Pour voir ce phénomène, il suffira de remplacer le thermomètre final par un déshumidificateur et de le faire fonctionner une durée convenue, par exemple de 11h00 à 13h00 (heures solaires du lieu). On constatera alors que la quantité d’eau recueillie sera moindre que la quantité recueillie dans la même durée avec le vent de 36 km/h: au bout de l’année, on aura moins de précipitations, alias sécheresse chronique … 

Le transport d’eau par le vent est symbolisé ici par des camions-citernes d’eau potable.

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, 14.9.2022, rev. 16.9.2022

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Variole du singe – Monkey-pox – une autre pandémie ?

Ayant été malade comme gamin de la varicelle, à lire les descriptions du « monkeypox » (en français « variole du singe ») et les photos des malades, je crains que sous peu il y ait beaucoup d’autres victimes – maladie très ennuyeuse, qui fait très mal.  

Comme avec toutes les épidémies, au début il y en a peu … et puis peu à peu on découvre les divers chemins de contamination, que le virus survit à sec sur une poignée de porte, que la durée d’incubation est de quelques jours et que juste après, dès la première pustule, on est contagieux, etc.  – – –  Une bonne nouvelle: comme pour les SARS-COV-2, les produits désinfectants sont utilisables, y compris le Baby Shampoo 1% (!)

Le présent article fait suite à la parution, dans le quotidien 24Heures du 24.8.2022 de lien:      Article de 24Heures sur le virus de la variole 24.8.2022   J’ai produit à son intention le commentaire ci-dessus, jugé ‘’contraire à sa charte’’, ce qui est son droit; cette censure m’indispose et comme auteur, je le publie ici à ma guise.

Donc pour prévenir une contamination, voir: COVID-19 il faut se soigner – en français

Documentation: 

§ Sur la prévention:    … les vaccins contre la variole de première et deuxième générations apportent une protection efficace. Ils ont été administrés dans le cadre du programme d’éradication de la variole, mené en Suisse jusqu’en 1972. …

§ D’après les données européennes: attention à la très grande résistance à sec – capable de résister des mois et des années. 

Source:     Site officiel de la Confédération, OFSP

§ Schéma de structure du virus:

 

Source:   wikipedia schéma des virus 

§ Au sujet de la désinfection, la remarque principale est que les désinfectants utilisables contre le virus SARS-COV-2 sont utilisables contre ceux de la variole du singe (à cause de structures générales semblables).  

Source (publicité):   Industriel australlien Callington

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, Suisse, le 25 août 2022

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Cold War, organized with giant wind turbines.

Since the beginning of the 21st century, Switzerland has been evolving towards a desert climate.

One would expect, however, that the increasing heat is accompanied by increasing evaporation from water surfaces within a radius of 1,000 km and therefore by corresponding precipitation as soon as the air laden with this water vapor cools. and rises, or encounters colder air masses, as usual in meteorology: Switzerland has a reputation as the water tower of Europe.  

So we should be in front of a certain warming – in Switzerland it is strangely much more intense than global warming – but accompanied by at least as much humidity as in hot and humid countries. This is not the case and therefore one has to wonder what can cause this situation.

Let us assume that there is a disruptive element in the movement of air masses, located at the periphery of the areas affected both by warming above the average on the Globe and by chronic droughts; a mountain range can play this role, but I have come to suspect giant wind farms.

Facts:

§ Each wind turbine reduces the energy of the air that has passed through it to 11/27 at most (according to the limit of Betz, takes at most 16/27). Air volume, pressure, temperature and humidity are mostly unchanged; but the speed of the wind passing through the wind turbine is reduced significantly. Simple calculations, assuming that all residual energy is kinetic energy:

E0 = 1/2 * M * (V0)2 initial wind energy

V0 initial wind speed, M Mass of treated air

Emax = 16/27 * E0 = maximum energy extracted by the wind turbine (Betz limit)

Eresidue = E0 – Emax = 11/27 * E0 = 1/2 * M * (Vresidue)2

After substitution ==> Eresidue = 11/27 * 1/2 * M * (V0)2 = 11/54 * M * (V0)2

1/2 * M * (Vresidue)2 = 11/54 * M * (V0)2

(Vresidue)2 = 11/27 * (V0)2

  ==> (Vresidue)2 / (V0)2 = 11/27 =~ 0.4074

Vresidue / V0 =~ 0.638

Vresidue =~ 0.638 * V0

§ In all European countries, there are thousands of wind turbines. So wherever the wind comes from in Switzerland, a part (the densest, the one that passes in the first 200 meters on the ground) has been slowed down by all the wind turbines crossed.

Climate and weather assumptions:

1. The evacuation of the heat of the day, produced by the sun ordinarily, is less important by a slow wind.

2. The delivery of water vapour, by the air coming from the oceans, towards Switzerland, is diminished by the slowing down of the air; in addition, the precipitable potential of the slowed air is reduced, by braking mixtures with air masses of adequate temperatures.

3. Is it plausible that the microscopic influence of anthropogenic CO2 is capable of having such effects of heat waves and chronic drought in Switzerland?

§ It seems unlikely that no one has understood or investigated this side effect? Perhaps it is even used deliberately as a weapon?

Hence the questions:

§ WHO could have programmed this combination climatic catastrophe (drought + heat) for Switzerland using giant wind turbines?

§ WHO tries in this way to make the center of Europe sooner or later as UNINHABITABLE as the center of Australia or as the deserts like the Sahara?

Conclusion

This becomes, in my opinion, a problem of national defense, a military matter … That is why it is really URGENT to check what the intensity of the side effects of giant wind turbines as a whole is, before building any of them hundreds in our country.

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