Rappel à l’intention des Communes romandes avec projet d’éoliennes

Le présent article présente la re-publication des commentaires, rédigés pour mémoire à l’intention des lecteurs de l’article de titre et de lien:   Ce que contiennent des conventions secrètes des parcs éoliens   paru 21.8.2021 dans le quotidien lausannois 24Heures, sous la plume de M. Erwan Le Bec. 

Les parcs d’éoliennes posent plusieurs problèmes.

Chapitre 1.  La base scientifique en est un colosse aux pieds d’argile.

§ Le GIEC s’est révélé peu fiable et auteur d’une tromperie à l’échelle mondiale: en 1995, une étude soignée des documents scientifiques de l’époque a prouvé que 6 d’entre eux ont été falsifiés par l’éditeur de l’AR2 (rapport principal).

§ La transition énergétique ne peut pas être fondée sur les conclusions du GIEC ou sur une soi-disant influence de l’humanité sur le climat, à cause d’émissions de CO2 ou de CH4. Les calculs en physique quantique à propos de CO2 invalident aussi les dires du GIEC. La loi sur le CO2 en est donc aussi invalidée dès le premier article; curieusement, les offices de la Confédération, comme MétéoSuisse ou l’OFEV se sont refusés à toute vérification en physique, pourtant à leur portée; étrange: dûment averti, le Conseil fédéral a laissé baigner !

§ Le climat global par nature est instable – il est bien en train de changer – mais nous perdons notre temps et nos ressources à nous fixer sur le CO2.

§ Il y a donc en réalité pure et dure très peu de mesures à prendre à propos de CO2: la soi-disant lutte pour le climat est un concept farfelu.

§ Les nécessaires économies en sources d’énergie comme charbon, pétrole et gaz doivent se trouver une autre justification.

Chapitre 2. Les connaissances sur les éoliennes et sur leurs effets secondaires sont lacunaires.

§ Les éoliennes ont une influence sur le climat local, à l’échelle de régions aussi vastes que la France, par exemple. En examinant en physique leur fonctionnement, on sait, par la loi de Betz, qu’on ne peut prélever au maximum que 62% de l’énergie du vent. Ce faisant, le calcul montre que ce prélèvement par les meilleures hélices se paie par un freinage de sa vitesse, par exemple: un vent de 10 m/s (36 km/h) sera réduit vers 3.5 m/s (12.6 km/h).

En ralentissant ainsi le vent, on ralentit aussi massivement le transport de vapeur d’eau: par plusieurs mécanismes en rapport avec la génération de pluies et de neige, il s’ensuit un déficit de précipitations, une SéCHERESSE CHRONIQUE.

§ Tous ceux qui voudront se débarrasser de ce handicap n’auront pas d’autre solution que de mettre hors service leurs parcs éoliens – et si possible ceux des pays “au vent” (!). Pour cette seule raison-là, la pire de toutes sur le plan financier, il faut OUBLIER les éoliennes …

§ On a beaucoup étudié les effets optiques et sonores à travers l’atmosphère, sur la santé et sur l’agriculture, d’éoliennes isolées; en fixant des limites de distances assez variables d’un pays à l’autre, ils ont été jugés supportables.

§ Malheureusement, on a “oublié” les effets des infrasons transmis par le sol; ceux-là sont nocifs à des km – on ne sait pas les éviter …

Chapitre 3. C’est bien plus qu’un problème de paysage.

Quand des retraités, formés autrefois comme scientifiques, avertissent qu’il y a des problèmes, manifestement on ne veut pas les écouter dans les sphères dirigeantes, Communes, Canton ou Confédération.

§ Quand dans notre estimé 24Heures j’interviens, de rares avis sont exprimés sur mes commentaires: quelques-uns pour, souvent en majorité contre; assez exactement le même refus de voir la réalité en face.

§ L’année passée, des éoliennes pour un total de 651’000 MW étaient en service sur tout le Globe; je vous laisse imaginer le désastre climatique réel qui se prépare ! A un million le MW de ferraille desséchante (estimation grossière), un désastre humain et financier massif ne manquera pas d’en résulter.

§ Si nos décideurs veulent investir tout de même en éoliennes, j’espère pour vous que ce n’est pas votre argent qui est concerné, bien que nos compagnies d’électricité soient très souvent derrière les projets.

§ Quelles assurances pourront-ils souscrire, en cas de sécheresse chronique dans tout le pays, comme celle d’il y a 3’600 ans, et dont on aurait reconnu leur responsabilité ?

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Un commentaire discourtois et à court d’arguments d’un politicien de la région de Lausanne m’a fait comprendre, que dans ce cadre le point de Godwin était atteint !

Bibliographie:

   L’humanité n’est PAS responsable du réchauffement climatique global.

   L’IPCC ne s’est pas amendé, MétéoSuisse non plus

   Faux Rapports sur le climat (avertissement, cela tombe sous l’Art.307 CP)

   André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, 24.8.2021

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