Covid-19 Venir à bout de la pandémie

Après avoir perdu plusieurs fois la moitié de leur population, les peuples européens ont aux dernières nouvelles combattu et maîtrisé la peste, de manière plus ou moins sûre avec des antibiotiques. Ce sont des maladies multi-formes donnant des pandémies extrêmement compliquées – voir la description des 3 pandémies principales (6ème au 7ème siècle, 14ème au 15ème siècle, 1855 jusqu’au début du 20ème siècle) dans      https://fr.wikipedia.org/wiki/Peste  . Mais elle n’est en fait pas vaincue: il reste sur Terre des réservoirs et les vecteurs n’ont pas tous disparu.

§ Avec la COVID-19, le milieu médical et surtout le milieu pharma n’ont rien voulu entendre des spécialistes comme le Pr. Raoult ou le Pr. Meyers, des découvreurs de moyens simples pour barrer la route au virus au tout début d’une contamination. Obsédés par l’idée qu’on doit absolument soigner seulement les gens malades et sinon vacciner une grande partie de la nation, ils ont méprisé et négligé les moyens bon marché de venir rapidement à bout du fléau … Humainement et financièrement une catastrophe majeure.

§ Avec la COVID-19, la Presse et les médias ont répercuté abondamment les détracteurs du Pr. Raoult, mais en dehors du présent blog, personne ne s’est donné la peine de tester vraiment la méthode gargarismes+rinçages+spray nasal et d’en parler: de la censure. Quand à l’organisation Cochrane, elle a prétendu qu’il existait des études à conclusions négatives, mais elle n’a pas réussi à me les citer; en réfléchissant à une méthode de test, on s’aperçoit que c’est presque impossible d’en trouver: l’absence de réponses à propos d’études est significative – comment prouver que le spray protège, alors qu’on a peut-être simplement eu de la chance ?

§ Considérant qu’il y a des centaines de variants du SARS-COV-2 et qu’on en connait au moins trois virulents (le chinois, le britannique et l’indien, liste ouverte), on peut penser que la vaccination va se passer comme avec la grippe – à la différence que la COVID-19 est beaucoup plus méchante dans ses effets – une sorte de jeu de la roulette annuel, de quoi assurer à Big Pharma une fortune.

§ Mécanisme du procédé selon le Pr. Meyers

Utilisant un adjuvant éprouvé depuis 2008 à Penn State (date de publication), du domaine ORL, on y trouve un moyen des plus simple d’inactiver TOUS les variants du SARS-COV-2 en s’attaquant à sa structure générale:

 

Source: https://www.creapharma.ch/coronavirus.htm

Les détergents contenus dans l’adjuvant, sprayé dans le “filtre à air” du patient traité (ses fosses nasales), forment un film qui fait sauter les membranes lipidiques du virus qui vient à son contact, donc quelles que soient les structures de ses protéines de pointe: c’est la démolition de l’édifice dangereux, quel que soit le variant. Que le virus provienne de l’extérieur et soit cueilli à l’arrivée ou qu’il soit produit en masse par la muqueuse du nez du patient, il sera détruit. En prime, le patient qui s’est sprayé va peut-être produire comme les autres gens aérosols, gouttelettes ou gouttes, mais ce sera un liquide contenant un détergent mortel pour tout virus SARS-COV-2 rencontré, une sorte de désinfectant ambulant. Référence:    2020.09-17 Meyers Penn State – Lowering the transmission and spread of human coronavirus

C’est le procédé le moins risqué que je connaisse. Quant à son éventuelle inefficacité, elle reste à prouver: le propos me semble extraordinaire de perversité, quand on songe aux nombreux sprays nasaux ou gouttes nasales utilisés par des médecins, depuis des décennies … avec succès.

§ Ma famille et moi utilisons donc le spray nasal, selon la découverte du Pr. Meyers, dans les circonstances suivantes :

1. S’il s’agit de rencontres à risques prévisibles, par exemple au travail ou en devant aller aux achats – au moins une giclée dans chaque narine.

2. Ayant fait des rencontres, dont on pense qu’elles pourraient présenter le moindre risque – une ou plusieurs giclées dans chaque narine.

3. Veiller à ce que chacun se spraye de manière adéquate.

Dans ma famille, depuis le 16.12.2020 où nous avons commencé, personne n’est tombé malade de la COVID-19 … Il faut aussi dire qu’à cette date, nous avons tous été vaccinés en 2021 complètement (selon le certificat pour moi, vaccination le 7 juin 2021 avec Pfizer Comirnaty; j’ai vécu des mois protégé par les sprays). Sachant que le vaccin ne protège pas contre tous les variants, et qu’on peut encore  transmettre un autre SARS-COV-2 ou tomber malade, tant que la pandémie n’aura pas disparu, nous continuerons à nous sprayer.  

 

§ Recette de fabrication maison pour une famille

  • Acheter à la pharmacie (ou commander sur internet) un flacon de spray nasal vide pour chacun.

  • Préparer un litre d’eau bouillante avec 9 g. de sel pur (acheté au pharmacien ou sel marin mesuré avec une balance de précision) dans une bouteille en verre: c’est de la solution physiologique. Avec ce procédé, on est sûr de ne pas avoir le moindre contaminant dans la solution préparée. On peut évidemment aussi acheter en pharmacie ce litre de solution physiologique.
  • On lui additionne exactement 10 ml de Baby Shampoo Johnson (à froid !). L’adjuvant ainsi préparé est à usage médical à la maison, bien que dérivé de produit cosmétique dilué à 1% (voir les sources scientifiques). 

On a ainsi fabriqué 1 litre de Baby Shampoo 1%, de quoi doter une famille nombreuse; il va durer 3 ans, autant que le Baby Shampoo lui-même. 

Documentation 

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 18 juin 2021

Commentaire

A l’article de Mme Rebecca Mosimann, de titre (et de lien)   Des vacances d’été entre désir de mer et contraintes sanitaires   le quotidien 24Heures a omis de publier le texte que j’ai soumis comme commentaire:   «Pour arriver à faire face à toutes les mauvaises rencontres des virus de la COVID-19, j’ai découvert par hasard un procédé de spray nasal. Les données du Pr. Craig Meyers m’ont mis sur la piste de la manière la moins risquée de se défendre contre tous les variants. Recettes maison bon marché et descriptifs détaillés sur mon site entrelemanetjura.ch, mot-clé COVID-19. 

J’ai été vacciné ce mois-ci et en attendant, j’ai échappé pendant des mois, ainsi que ma famille, à toutes les contaminations, lors de sorties pour les achats ou en recevant des visites, en étant un peu systématique, ce qui n’est pas pénible; à bon entendeur …»

Ces omissions sont faites sans explications: c’est une forme de censure assez sournoise !

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 20 juin 2021 

Commentaire

La censure a en fait duré quelques jours et mon texte a bien été publié, suite à un deuxième envoi; à l’analyse, il semble que ce soit la donnée du site internet qui bloque la Rédaction: c’est particulièrement bête de bannir les liens, car cela empêche de fournir de la documentation (ce qui fait partie d’un texte scientifique); elle a des excuses: certains liens contiennent des “malwares”. Dates: publication samedi 19.6.2021 à 10h59 – envoi 19.6.2021 à 12h21 –  ré-envoi 22.6.2021; comme quoi il faut plus de patience peut-être, de l’insistance dans tous les cas. Merci à 24Heures !

N’empêche: 24Heures n’a rien publié comme éditorial ou comme article à propos de la méthode du spray nasal (selon Pr. Craig Meyers), pour faire piquer du nez à la pandémie: comme les autorités sanitaires cantonales et fédérales – ainsi que l’OMS et beaucoup d’autres – tous ont pratiqué un silence glacial des mois durant, étrange et désolant … la pandémie a eu le champ libre ! Et pourtant, qu’est-ce qu’on risquait à vérifier d’abord, à essayer ensuite ? Conflits d’intérêts et compétence insuffisante ? Le résultat: nous sommes en Suisse au seuil d’une vague de COVID-19 au variant delta (nouveau nom pour l’indien), la vaccination ne garantissant pas une immunité totale – ou n’excluant pas non plus un transport de nouveaux virus par un quidam vacciné, au-dessus de tout soupçon …

En fin de compte, ne va subsister qu’une seule méthode vraiment sûre pour en finir avec le SARS-COV-2: se sprayer son nez assidûment – rinçages et gargarismes en plus recommandés, mais pas obligatoires. 

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 6 juillet 2021, Rev. 27.1.2023

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