Kohlendioxid und Erderwärmung

Zusammenfassung

– Der Wärmerückhalt («Forcing») durch das atmosphärische Kohlendioxid (CO2) verursacht auf Grund eines vereinfachten, von Klima unabhängigen Absorptionsmodells eine Temperaturerhöhung von höchstens 0.24 K (0.24°C) bei einer Verdoppelung der Konzentration von 400 ppm auf 800 ppm.

– Dieser Wert hängt nur von der akzeptierten mittleren Erdtemperatur, T = 288 K, ab und ist relativ unempfindlich gegenüber dessen Unsicherheit von ~ 2 K.

– Die Temperaturerhöhung seit der industriellen Revolution beträgt höchstens 0.12 K, was im Streubereich der Messgenauigkeit liegt. Der anthropogene Beitrag ist daher praktisch unbedeutend.

– Das Verhalten der eiszeitlichen und aktuellen Temperaturverläufe ist nicht ursächlich mit der Kohlendioxidkonzentration verbunden.

– Die Ursachen der Erderwärmung sind nicht geklärt. Sie sind aber höchst wahrscheinlich mit dem Sonnensystem und dem Wasserkreislauf verbunden.

– Massnahmen zur Kontrolle des CO2-Ausstosses und der Erdtemperatur sind ungeeignete, sogar gefährliche Mittel.

Volltext: 2017-09-reinhart_co2-und-erderwärmung

F. K. Reinhart, Prof. em., Lausanne, den 27.9.2017

Bibliographie

Le présent article est une version révisée du texte en anglais qu’on trouve à l’article

 CO2, une chimère climatique ?

Commentaire

Si le Pr. Franz-Karl Reinhart, spécialiste de physique quantique, ancien Professeur de physique à l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), démontre que le CO2 est une source très secondaire du réchauffement climatique, le doute n’est plus permis. Le CO2 est donc bien une très coûteuse chimère climatique ! Il s’agit maintenant d’en tirer les conséquences – cesser de croire que l’humanité va pouvoir influencer le climat de toute la Planète en diminuant ses émissions de gaz à effet de serre.

En réalité, la découverte du Pr. Reinhart signifie que nous ne pourrons pas, même avec des émissions de CO2 débridées, empêcher durablement l’interglaciaire, dont nous avons bénéficié, de se terminer; en d’autres termes, avec de très fortes émissions de gaz à effet de serre, nous ne pourrons probablement que retarder un petit peu l’échéance du retour de la glaciation suivante (et donc de l’inéluctable et tragique 4ème obligation de ).

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 28.9.2017

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